ProfileBorn in the 1920s, Barbara Mullen has been one of the greatest models of the 40s-60s, her image has been captured by almost all of the greatest fashion photographers of the 20th century. And yet, little is known about her, not even a birth date, and a label of "The replacement girl" given by photographer Lilian Bassman who has best captured her mysterious quality, is forever sticked to her. Her name appears only like a footnote in the story of other models of her time from Barbara Goalen to Twiggy. After retiring from model career, Barbara Mullen moved to Switzerland, where she has had her own boutique, written for fashion magazine, and lived a quiet and undisturbed life, what Switzerland is famous for. Further interestArticles Book The Replacement Girl: A Life in 24 Frames
By John-Michael O'Sullivan A biography of Barbara Mullen, one of the twentieth century's great fashion models
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ProfileBarbara Goalen (1 January 1921 – 16 June 2002) was a British model who came to international prominence between 1945 and 1954, then gave up her career at the height of her success. Described as "the most photographed woman in Britain" and "arguably the first British supermodel", she epitomised post-war glamour and modelled for both Christian Dior and Cristobal Balenciaga, the best couturiers in the world. BiographyBarbara Bach was born in British Malaya where her father was a rubber plantation owner. She was sent back to the UK to prep school at the age of eight, moving on to St Mary's School in Calne, Wiltshire as a boarder. She spent a year studying art, giving this up to become an ambulance driver when war broke out. She married commercial pilot Ian Goalen who was killed in a plane crash in 1947, leaving her with a son and daughter. Goalen became a model at the age of 24, with her mother taking care of her two young children. Even in austere post-war Britain good models could earn five guineas an hour – equivalent to the weekly wage for many working women of the time. Perks of the job included being treated as members of society, the loan of designer clothes and entrance to any event. Initially Goalen worked as a couture model and accepted every modelling commission, but later was to make her fee four times that of other models and restrict her appearances in order to be more 'exclusive'. Her elegant wasp-waisted shape was the perfect fit for the post-war 'New Look' fashions and she had what Vogue has described as the "mink and diamonds" look, thanks in part to her gamine short haircut (later more bouffant), arched and elongated eyebrows and high cheekbones. She said: "I was seven and a half stone and my measurements were: charlies 33, waist 18 – yes really – and hips 31". Early on in her career, she became a favourite of Vogue photographer Clifford Coffin and was also to work with leading fashion names such as Cecil Veaton, Henry Clarke, Norman Parkinson and Anthony Denney. Her big break came when she met English photographer John French and quickly became his favorite model. From 1950, she made frequent appearances in the pages of Vogue and Harper's Bazaar. The media would call her “the most photographed woman in England.” With great sophisticated and elegance, Barbara Goalen can make even a simple cotton blouse look chic, and when she wears the clothes she models, they seem coming from her own wardrobe. In early 50s, she was chosen to be one of the models for a series of influential photoshoots by Elsbeth Juda for export magazine The Ambassador that were designed to promote British culture and industry abroad. She also became among the first British models to be employed by French couture houses – notably Balenciaga and pioneer of the 'New Look' Christian Dior – as well as modelling in New York and Australia for top fashion magazines like Vogue, Harper’s Bazaar, etc. Sometimes nicknamed “The Goalen”, Barbara is one of the three greatest British models of her time, together with Fiona Campbell-Walter and Anne Gunning, and one of the super models among Lisa Fonssagrives, Suzy Parker or Dorian Leigha. After six-year of success, Barbara Goalen retired from modelling and married Lloyd's underwriter Nigel Campbell at Caxton Hall, Westminster in 1954. The wedding was mobbed by onlookers, A testament to her fame. The couple had two daughters. Subsequently known as Mrs Nigel Campbell, Barbara Goalen organised the Berkeley dress show (a debutante event and fixture of the 'season') during the 1960s – despite her doubts about its relevance to the times. She also dispensed fashion advice in The Daily Telegraph and designed children's clothes, modelled by her two young daughters. Barbara Goalen died on 16 June 2002. She was 81 years old. Not long before she died, she was reported to say:"....Don't ask my age, I will not tell you...And do not look for it in the archives...It's so provincial to talk about age!" Articles Further interest![]() Profile Brigitte BardotBrigitte Bardot (également connue sous les initiales de « BB »), née le 28 septembre 1934 à Paris, est une actrice de cinéma, mannequin, chanteuse et militante des droits des animaux française. Figure féminine des années 1950 et 1960, elle est une star mondiale, l'égérie et la muse de grands artistes de l'époque. Emblème de l'émancipation des femmes et de la liberté sexuelle de cette époque, elle incarne des rôles de femme-enfant et de femme fatale. Elle tourne avec plusieurs grands réalisateurs, interprétant des personnages à l'élégante légèreté et à la sensualité photogénique. Elle devient rapidement un sex-symbol et acquiert une renommée internationale. Avec à son actif 45 films et plus de 70 chansons en près de vingt-et-un ans de carrière, Brigitte Bardot est une des artistes françaises les plus célèbres au monde. En 1973, elle met un terme à sa carrière d'actrice pour se consacrer à la défense des droits des animaux, notamment avec la création de la Fondation Brigitte-Bardot. À partir des années 1990, elle suscite le débat en raison de prises de position hostiles à la montée de l'islam en France et aux égorgements rituels d'animaux sans étourdissement préalable. Biographie Brigitte BardotBrigitte Bardot naît le 28 septembre 1934 au domicile de ses parents, 5 place Violet, dans le 15e arrondissement de Paris. Son père, Louis Bardot est le propriétaire des usines Bardot (appartenant aujourd'hui à Air liquide); Sa mère, Anne-Marie Mucel (1912-1978), artiste contrariée, est la fille du directeur d'une compagnie d'assurances. Dans son enfance marquée par une éducation catholique rigoureusea, Brigitte Bardot souffre d’une amblyopie, qui l'empêche de bien voir de son œil gauche. Dissipée, elle souffre de la préférence de ses parents pour sa sœur cadette, Marie-Jeanne (dite « Mijanou », née le 5 mai 1938), et se pose souvent la question de savoir pourquoi elle vit14. Elle se passionne pour la danse classique et fait ses premiers pas, à sept ans, au cours Bourgat. En 1949, elle entre au Conservatoire de Paris et y obtient un premier accessit. Son père, dont un recueil de poèmes est primé par l'Académie française, est un passionné de cinéma et adore filmer : il existe ainsi de nombreux films de Brigitte enfant, ce qui est rare à cette époque. Hélène Lazareff, directrice de Elle et du Jardin des Modes, engage Brigitte Bardot en 1949 pour présenter la mode « junior ». À 15 ans, l'adolescente devient la « mascotte » du magazine Elle, dont elle fait la couverture dès 1949, sa silhouette élancée, la moue boudeuse et le regard sauvage enflammant la pellicule. Le réalisateur Marc Allégret, voyant une de ses photos sur le numéro du 8 mai 1950, demande à la rencontrer. À l'audition, elle rencontre l'assistant d'Allégret, Roger Vadim, qui lui donne la réplique pour une scène du film Les Lauriers sont coupés. Le film ne se fait pas, mais ils tombent amoureux. Ses parents s'opposent à cette relation. Brigitte Bardot se voit proposer son premier rôle par le réalisateur Jean Boyer dans Le Trou normand (1952), avec notamment Bourvil. Peu enthousiaste, elle accepte ce petit rôle pour les 200 000 francs qui lui sont promis. Sachant que le réalisateur du film Si Versailles m'était conté… (1954), Sacha Guitry, cherche une comédienne « pas chère » pour jouer mademoiselle de Rosille, maîtresse d'un soir du roi Louis XV, interprété par Jean Marais, l'agent de Brigitte Bardot, Olga Horstig, lui propose de jouer une scène. Brigitte Bardot accepte l’offre avec enthousiasme. La jeune actrice se rend ensuite à Rome, où du travail lui est promis. Elle obtient un rôle dans un film américain, Hélène de Troie (1956), de Robert Wise. Elle déclare à ce sujet : « Mon anglais était minable et mon trac formidable. J'appris mon rôle sur le bout des doigts. Je ne savais même pas ce que je disais, mais je le disais avec tant d'assurance que je fus choisie ». De retour en France, elle se voit proposer de jouer avec Michèle Morgan et Gérard Philipe dans Les Grandes Manœuvres (1955) de René Clair. Cette fois encore, son rôle n'est pas important, mais elle affirme préférer « un petit rôle dans un très bon film à un grand rôle dans un mauvais film ». Dans le même temps, Roger Vadim et Raoul Lévy écrivent un scénario intitulé Et Dieu… créa la femme. Après avoir manqué de ne pouvoir se réaliser faute de moyens financiers, le film est tourné à Saint-Tropez. Cette production va permettre à Brigitte Bardot d'entrer dans la légende du cinéma mondial et de devenir un mythe vivant, un modèle social et un « sex-symbol » international. À sa sortie en France, le film est accueilli avec une certaine réserve par la critique et suscite l’hostilité des milieux conservateurs. Raoul Lévy et Roger Vadim décident d'exploiter le film à l'étranger en espérant qu'il y sera un succès. Rebaptisé And God Created Woman, il fait un triomphe aux États-Unis, Brigitte Bardot devenant l’une des Françaises les plus connues outre-Atlantique. Le film ressort alors en France et connaît un triomphe retentissant. Dès lors, les projets de films s'accumulent. Elle les accepte tous. En 1957, elle tourne dans Une Parisienne de Michel Boisrond, avec Henri Vidal et Charles Boyer; selon elle, il s'agit d'une comédie « fine et spirituelle, pleine d'humour et d'amour ». Le film a un grand succès. À Paris, elle tourne dans En cas de malheur, avec Edwige Feuillère et Jean Gabin. Le film est accueilli avec une certaine réserve mais demeure, pour la comédienne, l'un de ses préférés, avec La Vérité, Viva Maria !, Et Dieu… créa la femme et L'Ours et la Poupée. Elle reçoit cette année-là, puis jusqu'en 1961, le premier prix de popularité décerné par Ciné Télé Revue. En 1958, Brigitte Bardot devient l'actrice française la mieux payée du cinéma français. Elle reçoit de nombreuses lettres et beaucoup d'appels téléphoniques de la part d'admirateurs, et décide de prendre un secrétaire, Alain Carré, qui dévoilera quelques années plus tard bon nombre de ses secrets à la presse. En 1959, elle accepte de jouer dans Babette s'en va-t-en guerre et lance la mode du vichy à carreaux, des cheveux longs et blonds, ainsi que des ballerines. Le film est un succès. Brigitte Bardot, enceinte, tourne en secret à partir de mai 1960 dans La Vérité , parce que son mari Roger Vadim s'oppose à tout ce que lui propose Henri-Georges Clouzot, le realisateur. Brigitte Bardot vit, à ce moment, une période difficile, son époux est malade, le tournage s’avère éprouvant et elle n'arrive pas à s'occuper de son bébé, et son secrétaire a vendu ses mémoires pour 50 millions d'anciens francs à France Dimanche, mettant ses secrets et sa vie privée sur la place publique. Après le renvoi de son secrétaire, un accord passé entre les différents magazines, lui permet de supprimer tout ce qui ne lui convient pas. Le tournage de La Vérité se révèle pour elle, sur le plan personnel comme professionnel, une belle réussite. Elle dissimule, par respect pour son mari, la liaison commencée avec Sami Frey. Mais son mari ne tarde pas à la découvrir, de même que les journalistes, qui ne cesseront de la harceler. Le 28 septembre 1960, le jour de son anniversaire de 26 ans, Brigitte Bardot elle veut se suicider mais est retrouvée par un enfant. Elle reprend connaissance dans un hôpital de Nice 48 heures plus tard. Sa tentative de suicide fait les gros titres des journaux comme France Dimanche et Ici Paris. À sa sortie de l'hôpital, elle doit faire face à la réaction du public. Sa convalescence se passe à Saint-Tropez, où sa mère ne la laisse jamais seule. Le 2 novembre 1960, La Vérité sort dans les salles parisiennes. Malgré son absence à la première, le film est bien accueilli par la critique et connaît un énorme succès public. Il est récompensé dans de nombreux festivals internationaux — le film fut nommé à l'Oscar du meilleur film étranger 1961 — et Brigitte Bardot y est reconnue comme une actrice à part entière. À l'étranger, elle est consacrée « meilleure actrice de l'année ». En 1961, Elle accepte de jouer dans Vie privée, adapté de sa propre vie, sous la direction de Louis Malle. Quatre ans plus tard, Louis Malle veut lui faire donner la réplique à Jeanne Moreau dans une parodie de western à grand spectacle et gros budget, tourné au Mexique : Viva María! Le tournage de Viva María! commence fin janvier 1965 à Mexico et le film est un immense succès. À la fin des années 60 Brigitte Bardot est choisie pour être le modèle du buste de Marianne, trônant dans toutes les mairies de France. En acceptant, la célèbre comédienne devient la première actrice à prêter ses traits au symbole français. Le buste est réalisé par le sculpteur Aslan. Sur le tournage de L'Histoire très bonne et très joyeuse de Colinot trousse-chemise elle ne s'estime plus dans son rôle et, se regardant dans un miroir, se trouve « stupide » avec son déguisement. « Tout cela me sembla dérisoire, superflu, ridicule, inutile». C'est à ce moment qu'elle décide d'arrêter définitivement ce métier. La dernière image du dernier plan de son dernier film, le 48e de sa carrière, la montre une colombe à la main, symbole de sa vie future consacrée aux animaux. Le 6 novembre 1973, elle se fait le serment que son nom, sa gloire, sa fortune et sa force lui serviront à les aider jusqu'à sa mort, à se battre pour eux, à les venger, à les aimer et à les faire aimer. En 1986, Bardot crée, à Saint-Tropez, la Fondation Brigitte-Bardot, organisme ayant pour objet la protection des animaux. Pour la faire reconnaître d'utilité publique, elle disperse aux enchères les objets de son ancienne gloire : bijoux, effets personnels, robes ou encore des photos et affiches, pour la plupart dédicacées. Afin d'en augmenter le capital et d'obtenir la reconnaissance d'utilité publique, elle fait don de sa propriété La Madrague à sa fondation et celle-ci est finalement déclarée d'utilité publique par le Conseil d’État en 1992. Elle est à la fois admirée et critiquée pour ses combats pour la protection des animaux. En 1994, Brigtte Bardot demande à Jean-Paul Gaultier de ne plus utiliser de fourrure dans ses créations, prétextant qu'il a fallu deux renards pour un des manteaux qu'il a créés. Le créateur lui répond : « Il n'en a pas fallu deux mais trois » Elle fait la même demande à Sophia Loren, qui pose en fourrure pour Annabella pour la somme d'un million de dollars américains. Avec ses cheveux décoiffés, ses pieds nus, ses tenues minimalistes, sa moue boudeuse, ses attitudes nonchalantes, son côté sauvage, sa franchise à toute épreuve, sa nature insoumise et sa sexualité assumée, Bardot, qui a radicalement bouleversé l’image de la femme française, est devenue une icône absolue. Dans les années 1960, elle rapporte autant de devises à la France que la régie Renault. Après le passage de la tornade de Et Dieu… créa la femme, Bardot devient la star la plus copiée au monde. Y elle continue d'être admirée par les actrices d'aujourd'hui. Elle reste l'une des stars les plus connues dans le monde. Brigitte Bardot fait également connaître au grand public Saint-Tropez, sur la côte d'Azur, et Buzios, au Brésil. Une statue lui a même été érigée dans cette commune. Elle a également été une icône de la mode avant la lettre. Tout ce qu'elle faisait ou portait était immédiatement imité par des dizaines de millions de femmes. C'est avec Arlette Nastat, la créatrice de Real rencontrée dès 1956, qu'elle trouvera pleinement son style vestimentaire (robe vichy, pantalon corsaire…). Le voyage à New York montre pleinement la richesse de cette collaboration.
Ensemble, elles créeront la ligne de vêtements « La Madrague », dans les années 1970, signant ainsi plus de 20 ans de complicité. À partir de 1964, et pour sept ans, elle adopte la mode hippie du créateur Jean Bouquin, installé à Saint-Tropez. Elle contribue à lancer Bouquin auprès du Tout-Paris et porte ses vêtements dans ses films de l'époque. |
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June 2023
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